Avec Jupiter, très bien relié, l'optimisme et l'expansion seront de mise. On voudra y croire et certains indicateurs, économiques montreront de l'embellie. Toutefois, Neptune qui s'oppose ne permettra pas d'avoir de la lucidité ni du recul par rapport aux éléments. Le risque de faire une analyse erronée ou incomplète de la situation sera grand. On marche dans le flou et l'illusion et le réveil pourrait être brutal. Vénus, qui forme un demi-carré n'est pas favorable à l'argent.
Son opposition à Uranus peut montrer des emballements soudains pour des valeurs qui n'en ont pas tellement au final. Attention, car sur les marchés de l'art ou de l'argent, on payera beaucoup trop cher des produits qui ne le vaudront pas. Mars, qui a repris depuis le 27 août sa marche directe, sera encore plus agressif que les mois passés. Il ne formera que des mauvais aspects avec la Nouvelle Lune, Vénus, Uranus et Neptune. Le fond violent et agressif reste très actif et il faut s'attendre à une rentrée sous haute tension. La grogne et l'incompréhension sont là, tout comme le décalage entre la population d'un côté et ses dirigeants de l'autre : il n'y a ni écoute ni effort de compréhension !
Pourtant, les beaux aspects entre Jupiter, Neptune et Pluton montrent qu'il est possible de développer un modèle économique viable, respectueux de l'écologie, de l'humain et des ressources. Le recyclage est une voie porteuse d'innovation et le changement conscient un eldorado à explorer ! Oui, mais voilà, changer veut dire se remettre en question et peut être aussi chahuter les dinosaures du Cac 40 qui se fichent de la planète et attendent leurs dividendes annuels ! Au niveau personnel, il faudra se méfier des emballements, des coups de foudre et des décisions prises de façon irréfléchies. Les désirs ne seront pas toujours en adéquation avec les réels besoins et le risque d'agir juste pour épater ou se faire bien voir des autres sera un piège.
Il y a beaucoup de passion dans le ciel de septembre et même si Mercure et Saturne, bien reliés jouent les garde-fous, on pourrait être davantage tenté d'abandonner la raison pour laisser parler les envies. Attention, car il y aura un prix à payer. Si vous vous dites, « tant pis, j'y vais, car je n'ai qu'une vie », ne revenez pas en pleurant parce que vous vous êtes brulé les ailes en flirtant avec le soleil. Trop facile de faire n'importe quoi et de se poser par la suite en victime. Entre ceux qui font preuve de complaisance envers les rapaces qui les dépècent, et ceux qui font rentrer le loup dans la bergerie et pleurent ensuite les brebis dévorées, nous évoluons dans un angélisme presque obscène. Non, il ne suffit pas d'imaginer que l'ogre est un agneau pour qu'il le devienne : le déni est la pire des irresponsabilités !
){kind=logo}
Commentaires