Mars en Poissons : de la douceur dans un monde compliqué

Demain, mardi 13 janvier 2015, Mars avancera dans le signe des Poissons et y restera jusqu'au 19 février 2015. Symbole de guerre, mais aussi de pouvoir, la planète Mars est synonyme d'action. Suivant le signe qu'elle traverse, son énergie se matérialise différemment. En Poissons, elle est plus diffuse, moins concentrée, mais aussi plus généreuse. Elle se veut plus à l'écoute de son prochain et moins centrée sur son nombril. Il est fort possible que nous ayons envie de nous rendre utiles, de nous impliquer dans des projets de groupe, des mouvements sociaux. Nous pourrions par exemple commencer par notre environnement proche, en créant des liens, des associations, des collaborations, en partageant nos compétences, nos talents, nos idées sur des intérêts communs. Les sentiments d'amitiés et de soutiens mutuels redonnent confiance en soi, en la vie. On a envie d'y croire et l'optimisme revient.

Ne pas se voiler la face

Il y a quelque chose d'obscur, de rêveur et de poétique quand Mars intervient dans le signe de l'imagination. Sa conjonction avec Neptune demande de garder les pieds sur terre et de ne pas se laisser aller à l'indécision ou de se laisser influencer par les autres.
Notre imagination est active, créative, on se montre à la fois entreprenant et déterminé, voire tenace, mais on peut ressentir de la confusion et de la frustration à ne pas pouvoir agir à notre guise. Les efforts sont récompensés sous son carré à Saturne, à condition de ne pas céder au découragement. Des responsabilités et des limitations peuvent également peser lourd sur nos épaules. Inutile de vouloir forcer les événements. Il est plus important de nous poser et de nous interroger sur les raisons de ces obstacles.

À la croisée des chemins

Le 28 janvier 2015, la douce Vénus rejoindra Neptune et Mars dans le signe des Poissons. Une position à double tranchant, car on pourrait ressentir une forme de décalage entre ses propres aspirations et le monde matérialiste. Entre l'envie de baisser les bras, de se complaire dans une forme de paresse et celle de suivre son chemin, le fil sera ténu. Le premier chemin se vit à contre-courant, on boit un peu la tasse, on se sent en décalage, on perd notre énergie vitale, car on lutte contre le cours des choses et l'on a du mal à communiquer ce qui nous habite.
Il y a aussi l'autre chemin, celui où l'on synchronise nos ondes avec l'extérieur pour se laisser porter par le courant. Notre réceptivité est alors accrue, on ressent tout ce qui nous entoure et notre imagination est fertile, prompte à envisager l'avenir de façon positive.